Présentation d’un produit : le PERP d’APICIL

Dans la jungle des PERP, voici l’un des plus performants sans risque.

PERP Apicil PERsPective Génération Plus

Apicil un assureur fiable

La fiabilité d’un assureur mutualiste, APICIL qui a plus de 75 ans d’existence. Le groupe, qui emploie plus de 1300 personnes, dispose d’un ratio réserves/marge de solvabilité plus de quatre fois supérieur à ce qui est exigé par la réglementation.

PERP Apicil : Un large choix de supports d’investissements performants

  • 1 fonds en Euros performant :

Historique des performances* :

2009

2010

2011

2012

2013

4,70 %

4,30 %

3,94 %

3,65 %

3,20 %

* Net de frais de gestion

  • Plus de 32 Unités de Compte pour diversifier :

Les supports proposés sont gérés par les sociétés de gestion les plus prestigieuses : Carmignac Gestion, DNCA Finance, M&G, Financière de l’Echiquier, …

Des frais négociés par AGEFOR pour le PERP Apicil :

  • 1 % en 2014 de frais sur les versements libres ou programmés (au lieu de 5 %)
  • frais de gestion :
      • 0,60 % / an sur le fonds en Euros
      • 0,96 % / an sur les Unités de Compte
  • 1 arbitrage gratuit par an

La phase de rente du PERP APICIL :

Le PERP APICIL propose différentes options de sortie en rente : rente majorée, rente progressive, réversion au conjoint, … à choisir au moment de la transformation en rente.

Des annuités garanties : le PERP APICIL propose également des annuités garanties en cas de décès prématuré une fois en période de rente : vous êtes donc certain de ne pas avoir cotisé pour rien. Cette garantie est intégrée directement au contrat alors que dans la plupart des PERP elle est optionnelle (et donc payante).

Le PERP APICIL prévoit la possibilité de récupérer 20 % de votre capital (de nombreux PERP ne l’ont pas encore prévu)

La rente est revalorisée tous les ans

Le PERP Apicil PERsPective Génération c’est aussi :

  • La disponibilité d’un conseiller indépendant pour vous assister dans la gestion de votre contrat
  • Différents profils de gestion (Gestion à Horizon, Gestion sécurisée, Gestion Libre)
  • Différentes options de gestion (sécurisation des plus-values, dynamisation des intérêts)
  • Un PERP accessible dès 50 € / mois

Pour en savoir plus, juste un petit commentaire ci-dessous, avec votre mél !

ou :

Les contrats Madelin et la table de mortalité (2)

Les assureurs font le forcing, ces jours, pour vendre leurs contrats Madelin avant que ne changent les règles de calcul de la rente.

Mon dernier article (voir ici) expliquait pourquoi cette nouvelle réglementation n’avait pas la moindre chance de modifier votre rente.

Mais un courtier (sans expérience, puisque installé en 2012, après avoir vendu des panneaux photovoltaïques) a réfuté mes arguments d’un

Je cite : “

      Aucun intérêt, car c’est du bla bla NON CONTRACTUEL

      Bien cordialement,

      Philippe B

” Fin de citation.

J’ai donc repris le CONTRAT diffusé par ce M. B. : “la Retraite” de GENERALI, avec pour exemple, une personne née en 1956, qui verse à partir de ses 40 ans, pendant 25 ans soit jusqu’à 65 ans, 1 000 euros par an. Cette personne recevra une rente de 1 004 euros par an, versée pendant 24 ans (espérance de vie).

 

La conclusion est :

 

La valeur actuelle de la rente, l’année de ses 65 ans, avec un taux technique de 1.25 %, est 20 716 euros

(1 004,46 X  20.62423451)

 

Le placement des 1 000 euros par an à 1,25 % donne un capital, après 25 ans, de 29 134 euros

(1 000,00  X  29.1354)

 

La différence représente 29 %

 

En Français : « alors que j’avais accumulé 29 134 €, l’assureur me restitue 20 716 €. »

 

Ainsi, hors la vue du Client, l’assureur retient 29 % lors de la transformation du capital en rente.

Le taux de rente réel est donc de 3,40 %.

 

CQFD

 

La démonstration est là.

 

Les contrats Madelin et la table de mortalité

L’actualité des contrats Madelin se trouve au niveau de Bruxelles, qui nous impose que les hommes et les femmes bénéficient de la même table de mortalité. Au nom de l’égalité des sexes.

Le résultat pour les hommes est qu’ils toucheront moins de rente, puisque leur espérance de vie, plus courte que celle des femmes, ne va plus être différenciée.

Les femes toucheront plus.

L’article (Pourquoi faut-il souscrire un contrat retraite Madelin avant le 21 décembre 2012 ? ) annonce donc qu’il faut vite souscrire les anciens contrats !

Voilà un article mensonger auquel il est important de répondre ceci : les assureurs ne créent pas d’argent.

Ils gèrent le vôtre plus ou moins bien.

Le principe décrit (sous-entendu) dans l’article est que si l’assureur vous avait garanti une retraite (rente) en fonction de votre espérance de vie, vous étiez certain de toucher plus d’argent que les autres contrats. Ceci est absolument faux.

Lorsque vous versez de l’argent à un assureur, en échange d’une rente dans 10 ou 20 ans, vous avez le choix entre une rente garantie dès l’origine (par plusieurs moyens) ou une épargne rémunérée de façon visible.

C’est-à-dire que soit vous ne savez pas combien rapporte votre placement, mais au bout du compte on vous promet une rente de 4 ou 5 ou 6 %, garantie dés l’origine, soit vous surveillez votre argent tous les ans, avec la possibilité de comparer le taux de placement avec d’autres assureurs et d’autres type de placement.

Au bout du compte, le résultat sera le même !

Le premier assureur devra « provisionner » sa promesse et vous fera un placement moins rentable de ce fait, lequel sera transformé en rente avec un bon taux de rente.
Par exemple, vous vous engagez à verser 500 euros par mois pendant 18 ans et l’assureur s’engage de transformer votre capital en rente selon la formule : capital obtenu X  4,50 %.
Au bout de 18 ans, vous aurez un capital de 133 000 euros, transformé en une rente de 500 euros par mois.

Le deuxième assureur vous donnera un joli taux de placement, mais au bout du compte imposera le taux de transformation en rente.
Par exemple, vous vous engagez à verser 500 euros par mois pendant 18 ans et l’assureur ¨vous montre le taux du placement, qui est tout à fait au niveau des autres contrats.
Au bout de 18 ans, vous aurez un capital de 150 000 euros, transformé en une rente de 500 euros par mois.

Comment est-il possible que deux contrats si différents arrivent au même résultat ?

La question est plutôt : comment pourrait-il en être autrement !

Gérant la même somme d’argent, les deux assureurs, aussi intelligent et capables l’un que l’autre, parviennent à gérer vos fonds aussi efficacement. Je ne dis pas que c’est bien, mais que c’est pareil. Kif kif bourriquot !

Le premier assureur vous montre un beau taux de rente, 4,50 %, mais rémunère moins bien votre épargne, en moyenne, à 2,42 %. Le deuxième vous montre un beau taux de placement, 3,72 % en moyenne, mais vous donne un taux de rente de 4 % seulement.

« Je verse 500 euros par mois pendant 18 ans à 2,42 % transformés à 4,50 % » est équivalent à « Je verse 500 euros par mois pendant 18 ans à 3,72 % transformés en rente à 4 % » : je reçois 500 euros de rente par mois

CQFD

PS : la seule vraie différence est dans les frais (gestion, entrée, commerciaux, etc). C’est là le nerf de la guerre. Le deuxième contrat est préférable parce que plus facile à surveiller sur ce plan là.

Graphique pour visualiser le raisonnement.

Gérard ALLEON  04 72 61 14 84 

 

La rente viagère selon Creditnews

Le lettre d’information de Credifin, visible ICI, nous explique, dans les grandes lignes, la rente viagère :

Le dossier du mois : LA RENTE VIAGERE

 La rente viagère est une somme versée périodiquement à une personne pendant toute sa vie (appelée crédirentier), lui garantissant des revenus jusqu’à sa mort.
Le montant de la rente est calculé sur un contrat en fonction de la somme d’argent investie, des frais de souscription, mais aussi de l’âge actuel et de l’âge au moment où la rente sera versée.
Ce montant sera révisé chaque année, de plein droit, selon un barème fixé par loi de finances.

LES TYPES DE CONTRATS :

-> Les contrats de rente :

Il s’agit d’une rente viagère immédiate ou différée (selon la date du premier versement), ouverte à tous les épargnants.
Dans un contrat de rente différée, la rente n’est servie qu’après une période plus ou moins longue, appelée période de constitution.
La rente différée peut se souscrire au moyen du versement d’un capital, ou au moyen du versement de primes périodiques pendant tout ou partie de la durée.
Un contrat de rente viagère immédiate prévoit qu’en échange d’une prime unique, appelée capital constitutif de la rente, l’assuré reçoit aussitôt et sa vie durant, une rente selon une périodicité choisie à l’entrée du contrat.

-> Les contrats à sortie obligatoire en rente :

Il s’agit par exemple du contrat Madelin (déduction des revenus imposables de l’ensemble des cotisations versées à titre facultatif pour la retraite et la prévoyance) pour les travailleurs non salariés, de la Préfon, pour les fonctionnaires.

->  Les contrats à sortie optionnelle en rente :

Il s’agit d’un contrat d’assurance vie, d’un PEP ou d’un PEA. La rente peut être constituée sur la tête d’une seule ou de deux personnes, sans distinction de sexe ni de lien de parenté.

Elle pourra être stipulée réversible au bénéfice du conjoint ou de toute autre personne.

Au décès, la rente sera payée au conjoint jusqu’à son décès, en totalité (réversion à 100%), ou en partie (réversion à 50%, 60% ou autre).

 

FISCALITE :

Toutes les rentes viagères sont soumises à l’impôt sur le revenu.
L’imposition se calcule sur une partie de son montant.
Selon l’âge atteint par le crédirentier lors de son premier versement, la rente bénéficie d’un abattement de 30 à 70%.

Abattements :
- 70% s’il a moins de 50 ans
- 50% s’il a de 50 à 59 ans inclus
- 40% s’il a de 60 à 69 ans inclus
- 30% s’il a 70 ans ou plus.

Il est à noter que certaines rentes sont exonérées d’impôt sur le revenu : rente versée suite à un accident du travail, rente versée au dénouement d’un PEA, rente constituée dans le cadre d’un PEP.
La rente viagère peut être universelle. Au décès, le capital initial de la rente sera reversé aux héritiers.
Lorsqu’elles s’opèrent au profit du conjoint ou des héritiers en ligne directe (enfants et petits-enfants), les réversions de rentes viagères sont exonérées de droits de succession (Article 7931du CGI).

Dans les autres cas, les réversions de rentes viagères sont taxées au titre des droits de succession.