Coup dur en 2014

Lu pour vous sur H24 Finance :

Coup dur pour le fumeur qui va prendre le périphérique avec une grosse berline et qui a 3 enfants inscrits au centre équestre.

Revalorisation du SMIC, hausse de tarifs (tabac, timbres, transports, banques, etc) et du malus auto, hausse de la TVA… Voici ce qui vous attend en 2014. Bonne année à tous !

Il est plus que temps de rencontrer un Conseil en Gestion de Patrimoine Actif et Indépendant !

Par exemple pour parler de l’assurance vie qui n’entre pas dans le calcul du plafonnement ISF ou de l’avantage de la SCI à IS.

VITE !

Prenez rendez-vous !

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Oui, il existe une solution au problème de la dette française

Lu pour vous, dans lexpress.fr :

Et si on mettait en place des bons du Trésor perpétuels détenus par des Français? La chronique de Christine Kerdellant. 

Pourquoi les Japonais, bien plus endettés que les Grecs, et dépossédés de leur triple A depuis longtemps, ne sont-ils pas la cible des marchés financiers ? Ce traitement de faveur n’est pas dû à leur économie florissante : le Japon est en crise depuis vingt ans, il l’était bien avant l’Europe. Mais les spéculateurs ne s’intéressent pas seulement à la dette en valeur absolue ni même, référence habituelle, au rapport entre la dette du pays et son PIB, c’est-à-dire entre la somme qu’il doit rembourser et la richesse qu’il produit annuellement. Ils jugent aussi son taux de croissance, sa volonté politique d’équilibre budgétaire (garante de non-endettement futur) et surtout la nature de ses créanciers. Car, on le sait, mieux vaut devoir de l’argent à sa grand-mère qu’à un banquier ou à un parrain de la mafia ! Et là, l’évidence éclate : les Japonais, ces épargnants-nés, détiennent 94,4 % de la dette de leur pays, contre 29 % pour les Grecs et 33 % pour les Français… 

Pourtant, les Français sont aussi des épargnants modèles. Notre patrimoine financier culmine à 3400 milliards d’euros, dont 1350 pour la seule assurance-vie! Et la dette publique ne représente “que” 1660 milliards d’euros. Mais nous n’exploitons pas cette chance. Jean-Michel Quatrepoint, ancien patron de La Tribune, économiste et auteur de Mourir pour le yuan? (éd. François Bourin), défend l’idée des vases communicants : la dette française doit être souscrite par les Français, et non par ces investisseurs internationaux qui, au final, nous “tiennent”. Concrètement, le Trésor émettrait des bons perpétuels à 4,5 %. Ainsi, il resterait à l’épargnant 3 % après impôt et CSG (1,5 % qui reviendraient dans les caisses de l’Etat, lequel ne débourserait donc que 3 %). Ces obligations assimilables du Trésor (OAT) perpétuelles remplaceraient peu à peu les tranches d’emprunt qui arrivent à échéance.  

Cela n’aurait rien de révolutionnaire. A l’époque de Pinay ou de Barre, les emprunts étaient souscrits par les Français. Mais, aujourd’hui, ni vous ni moi n’achetons en direct des OAT. Les banques se les gardent… ou les revendent dans des Sicav. Et si l’on demande à nos politiques pourquoi ils refusent d’envisager cette solution, ils répondent que cela coûterait plus cher à l’Etat. Aux taux actuels, rien n’est moins sûr, du moins si l’on ne verse pas de commissions de distribution aux banques (qui nous doivent bien ça…). Nos gouvernants chercheraient-ils à protéger ces banquiers à qui nous devons notre présente infortune ? On finira vraiment par croire que le système a été conçu pour faire la fortune de la sphère financière au détriment des Etats et des épargnants. 

RETRAITES : Durée de cotisation (22 août 2011)

Lu pour vous, sur net-iris.fr :

La durée d’assurance nécessaire pour bénéficier d’une pension de retraite à taux plein et la durée des services et bonifications nécessaires pour obtenir le pourcentage maximum d’une pension civile ou militaire de retraite, viennent d’être fixées par le décret (n°2011-916) du 1er août 2011 à 166 trimestres pour les assurés nés en 1955.

Ce décret est pris en application de l’article 5 de la loi (n°2003-775) du 21 août 2003 portant réforme des retraites, modifié par l’article 17 de la loi Fillon de 2010, qui prévoit que la durée d’assurance pour bénéficier d’une pension de retraite au taux plein et la durée des services et bonifications nécessaires pour obtenir le pourcentage maximum d’une pension civile ou militaire de retraite, évoluent de manière à maintenir constant, jusqu’en 2020, le rapport constaté entre ces durées et la durée moyenne de retraite.

En conséquence, la durée d’assurance requise des assurés nés en 1955 pour bénéficier d’une pension de retraite à taux plein passe à 41,5 ans à compter du 3 août 2011. Quant aux générations 1953 et 1954 elles doivent valider 165 trimestres.
Enfin, pour la génération 1956, la durée de cotisation nécessaire pour bénéficier de la retraite sera fixée par décret en 2012, mais elle ne devrait pas être inférieure à 166 trimestres.

Sont concernés par cette mesure, tous les assurés nés en 1955 qui ont commencé à travailler très jeune (à 14 ou 15 ans) et qui appartiennent au régime général, des régimes alignés (salariés agricoles, artisans, commerçants), des travailleurs non salariés agricoles, des professions libérales, des avocats, du régime de la fonction publique de l’Etat, des régimes de retraite des fonctionnaires territoriaux et hospitaliers et des ouvriers de l’Etat et du régime social des ministres du culte.

Evolution progressive des conditions d’ouverture des droits :

Date de naissance Nombre de trimestres devant être cotisés
(à partir du 3 août 2011)
en 1953 165 trimestres
en 1954 165 trimestres
en 1955 166 trimestres
en 1956 au moins 166 trimestres
Générations suivantes au moins 166 trimestres

Sept valeurs du rugby à appliquer en entreprise

Lu pour vous, sur l’entreprise.com

Le 9 septembre, c’est le coup d’envoi de la coupe du monde de rugby en Nouvelle-Zélande. Et si vous vous inspiriez de ses valeurs phares pour souder votre équipe ? Décryptage de Jocelyn de Just, consultant associé chez Krauthammer.

Propos recueillis par Marie-Madeleine Sève pour LEntreprise.com, publié le 07/09/2011

” On a coutume de dire que le rugby est un sport de voyous, joué par des gentlemen, et que le foot est un sport de gentlemen joué par des voyous…” Le rugby joue la confrontation. Les hommes vont au contact, mais ils le font avec un sens du collectif particulièrement développé. Leçons de management à travers dix mots clés du rugby.

1. Douleur et solidarité. Sur le terrain, il faut aller au charbon, se faire violence pour récupérer le ballon ovale, le dégager et marquer. C’est pareil en entreprise. On est parfois amené à souffrir sur un dossier, à surmonter une réelle difficulté pour boucler un projet. Mais si on fait corps avec les copains, on sait qu’on va y arriver. Et à se remettre en question, afin de trouver des solutions ensemble. Parce que chacun sait qu’il travaille pour plus grand que soi : l’équipe.

2. Maillot au mérite. Au rugby, il n’y a pas de vedette. A la différence du foot, aucun maillot ne porte le nom du joueur, ce qui renforce le sentiment d’appartenance. D’ailleurs avant chaque match, se déroule un rituel particulier : chacun des 15 joueurs sélectionnés parmi les 30 se voit remettre son maillot devant les 15 autres qui auraient bien aimé le porter. Ceci incite tout le monde à l’humilité : le maillot est valorisé mais pas le joueur. C’est ainsi que Fabien Pellous, triple champion de France de rugby, s’est entendu dire un jour ” Tu es le meilleur d’entre nous, mais l’équipe joue mieux que toi ! “. Sous entendu, ” change de comportement pour être sélectionné “. De tels rites d’intégration, et symboles d’unité s’ils ne sont pas sectaires, sont efficaces dans les équipes projet par exemple.

3. Causerie d’avant match. C’est une spécificité du rugby, de forte tradition orale, et reprise par Aimé Jacquet dans le foot. Avant le match, le coach va dans le vestiaire pour rappeler à chacun des joueurs ce qu’il attend de lui. Patrice Lagisquet, ex-joueur entraîneur du Biarritz Olympique est très fort dans l’exercice. Durant 10 à 15 minutes il ne parle jamais par la négative (” ne recule pas “), ce qui entrave l’action. Mais il parle en positif, ” va vers le joueur “, ” voilà ce que tu as à faire “. Et il raconte une histoire à l’équipe, dit en quoi chacun contribue au succès général. Avant de lancer un projet, un manager peut lui aussi raconter l’histoire d’un succès, d’une relation épique avec un client, etc. Et dire comme Steve Jobs : ” Je veux des pirates et pas des marins ! “.

4. Passe au coéquipier. Il y a différentes façons de passer la balle. Soit on s’en débarrasse, soit on l’offre au voisin. Dans le premier cas, l’autre la reçoit avec inquiétude, ses muscles se contractent. Dans le second cas, la balle est envoyée dans le prolongement des doigts et l’autre la reçoit naturellement. C’est identique quand un manager donne une délégation. Soit il délègue l’exécution de tâches sans les responsabilités, soit il délègue des objectifs et demande à l’autre comment il voit les choses. Le résultat sera bien plus efficace.

5. Respect de l’adversaire. Je me souviens d’un match décisif France-Pays de Galles dans le tournoi des 5 nations, un match rude. Une fois le coup de sifflet final stoppé, les joueurs français et gallois sont tombés dans les bras l’un de l’autre. Le respect est une règle absolue du rugby. Les arbitres ne sont jamais contestés, ni hués, l’entraineur est écouté. Et à la fin de chaque match, les vainqueurs font une haie d’honneur aux perdants et les applaudissent, et réciproquement. Au bureau aussi on peut dire ” bonne chance “, ou ” bien joué ” à un compétiteur sur un contrat, ou un job. Et lorsqu’un manager recadre un collaborateur il peut dire ” non ” à la situation mais ” oui ” à l’homme.

6. Trophées partagés. J’ai été marqué en visitant la salle des trophées du Stade Toulousain. Elle n’affiche que des photos de groupe, des coupes, médailles et trophées d’équipe. Il n’y a rien d’individuel, aucun nom isolé. La salle raconte l’histoire de l’équipe dans sa continuité, et pour la fierté de tous. S’inspirant de ce lieu, le patron commercial d’une PME a ainsi instauré d’afficher au mur dans un local à l’abri du regard des clients, tous les contrats de plus de 100 000 euros, encadrés mais sans nom de commercial. Motivant !

7. Fluets ou baraqués. Il n’est pas obligatoire d’être une armoire à glace et de peser 120 kilos pour jouer au rugby. Quel que soit son physique toute personne à sa place dans l’équipe. Le petit trapu sera demi de mêlée ou demi d’ouverture. Le grand et longiligne sera en deuxième ligne, le gros costaud sera pilier ou talonneur, le grand musclé 3ème ligne ou arrière etc. Et si l’un veut changer pour une place qui ne lui correspond pas, on lui explique en quoi ses compétences sont essentielles là où il est. Sans aucun esprit de discrimination.

Dates d’entrée en vigueur de l’augmentation du taux du prélèvement social sur les revenus du capital

Lu pour vous, sur fiscalonline.com :

L’article 4 du PLFR 2011 a pour objet de porter le taux du prélèvement social sur les revenus du capital de 2,2 % à 3,4 %.

Cette hausse concernerait à la fois :

- le prélèvement social sur les revenus du patrimoine (Art. L. 245-14 du CSS)
- le prélèvement social sur les produits de placement (Art. L. 245-15 du CSS).

Cette augmentation porterait le niveau global des prélèvements sociaux sur ces revenus et produits de 12,3 % à 13,5 % ( 8,2 % de CSG, 3,4 % de prélèvement social, 0,5 % de CRDS, 1,1 % de contribution additionnelle affectée à la CNSA et 0,3 % de contribution additionnelle affectée au Fonds national des solidarités actives).

A compter du 1er janvier 2011 A compter de l’entrée en vigueur de la loi Taux d’imposition global
Revenus fonciers x    
Rentes viagères à titre onéreux x    
Revenus des capitaux mobiliers (actions, parts sociales, obligations, bons du Trésor, titres de créance négociables…) ne faisant par l’objet du prélèvement forfaitaire libératoire de l’impôt sur le revenu x    
Plus-values professionnelles à long terme des personnes percevant des BIC, BNC ou BA x   29,5% [1]
Gains réalisés lors de la cession de valeurs mobilières x   32,5%
Revenus de l’épargne salariale x    
Plus-values immobilières et sur biens meubles (Art.150 U à 150 UC du CGI)   x 32,5%
Produits soumis au prélèvement forfaitaire libératoire de l’IR   x  
Produits des bons ou contrats de capitalisation et d’assurance-vie, quel que soit leur régime d’imposition à l’IR   x  
Gains réalisés ou les rentes viagères versées en cas de retrait ou de clôture des PEA   x  
Produits, rentes viagères et primes d’épargne des PEP   x  
Intérêts et primes d’épargne versés aux titulaires de CEL et de PEL   x

 

[1] Le montant net des plus-values à long terme fait l’objet d’une imposition séparée au taux de 16 % auquel s’ajouteront les 13,5 % de prélèvements sociaux.

Si aujourd’hui, plusieurs régimes d’exonération des plus-values professionnelles permettent de s’exonérer non seulement de la plus-value mais également des prélèvement sociaux (Art. 151 septies, 151 septies B, et 238 quindecies du CGI), cette situation est loin d’être pérenne.

En effet, comme nous l’avons évoqué dans un précédent article, le gouvernement pourrait, dans le cadre de la loi de finances pour 2012, envisager de supprimer l’exonération portant sur les prélèvements sociaux….

….affaire à suivre.

PLFR 2001 : Art 4

Les prix de l’immobilier en France

Lu sur la tribune.fr, un article recensant tous les prix de l’immobilier en France.

Retrouvez les prix dans le Rhône :

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